Le stress et l’anxiété favorisent le syndrome du côlon irritable

Publié le : 09 novembre 20224 mins de lecture

L’intestin et le psychisme sont étroitement liés. Dans le cas du syndrome du côlon irritable, les personnes concernées devraient donc toujours envisager une consultation psychosomatique.

Le stress et l’anxiété favorisent le syndrome du côlon irritable.

Environ onze pour-cent de la population mondiale souffrent du syndrome du côlon irritable. Les douleurs abdominales chroniques, l’inconfort, les flatulences, la constipation et la diarrhée gênent considérablement les personnes touchées dans leur vie quotidienne et réduisent leur qualité de vie. Une étude récente montre désormais que le stress et les troubles de l’anxiété favorisent le développement du syndrome du côlon irritable. Une société recommande donc d’envisager systématiquement une consultation psychosomatique en cas de SII.

Dans le cadre d’une étude, c’est-à-dire une étude purement observationnelle sans intervention, les experts ont interrogé près de 2000 voyageurs longue distance. L’objectif de l’étude était d’examiner l’impact individuel des facteurs psychologiques et démographiques tels que, l’âge et le sexe, les symptômes physiques et les infections gastro-intestinales sur le développement du SCI. En particulier, l’hypothèse a été testée quant à la mesure dans laquelle des facteurs psychologiques tels que l’anxiété ou le stress peuvent prédire si le syndrome du côlon irritable va se développer récemment et comment il va se développer.

Le sexe et la susceptibilité aux maladies diarrhéiques, mais aussi le stress et le stress mental comme l’anxiété excessive jouent un rôle dans le développement du syndrome du côlon irritable. Une infection aiguë de l’estomac et du tractus intestinal déclenche alors l’apparition du SCI dans de nombreux cas. Le risque de la maladie est accru par l’interaction de ces facteurs. En outre, les femmes étaient nettement plus souvent touchées que les hommes.

Le syndrome du côlon irritable était également plus susceptible de se produire chez les personnes sujettes à la diarrhée en cas de stress et souffrant de troubles anxieux. Pour les experts qui ont participé à l’étude, cela montre une nécessité d’agir très claire. L’étude montre une fois de plus que le psychisme et les plaintes physiques sont étroitement liés. Pour les personnes touchées, le syndrome du côlon irritable s’accompagne d’une grande souffrance. Afin de pouvoir garantir une aide rapide, globale et durable, il est important que les causes non seulement physiques mais aussi mentales soient prises en compte et qu’une consultation psychologique ait lieu à un stade précoce, ainsi que Gündel.

Cela s’applique en particulier si le syndrome du côlon irritable survient, par exemple, pendant ou après une phase de vie mentalement stressante ou stressante, ou en relation avec des maladies mentales. Si le traitement psychothérapeutique de soutien est approprié pour le traitement du SII, les patients y apprennent, par exemple, comment gérer les éventuels facteurs de stress tels que les influences internes ou externes pesantes, comment les combattre et ainsi contenir spécifiquement les causes du SII.

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